Topic : Écritures

Pardès

Pardès

By nathan on 18 mars 2020

Pour comprendre la portée quadruple des Écritures Sacrées

L’habitude quasi-quotidienne de lire les Écritures est fondamentale pour comprendre les Écritures Sacrées. Certains se plaignent qu’ils ne comprennent rien quand ils lisent les Écritures Sacrées. Certains disent que ces Ecrits n’ont pas de sens pratiques et qu’il n’est plus possible de comprendre ces Textes Antiques.

J’ai passé toute ma vie à chercher la Vérité, j’ai lu de nombreux volumes sur des sujets à caractère philosophique, religieux ou simplement spirituel et jamais je n’ai trouvé de réponses claires à mes interrogations. Mais le jour où je me suis arrêté à lire sérieusement les Écritures Sacrées, même des versions de bible si imparfaites, alors le jour où j’ai commencé à examiner ma vie en rapport avec les principes enseignés par les Écritures Saintes, j’ai remarqué une différence et un changement substantiel. Ma vie devenait meilleure indépendamment de la religion que je pratiquais, du clergé, des philosophes et des bien pensants. Les Écritures Sacrées sont un tout en elles-mêmes. La lecture régulière des Écritures Sacrées a eu un impact sur mes pensées, sur ma manière de vivre, ma famille, mes enfants, la moralité, la justice, la droiture, la richesse, la pauvreté, la santé et la maladie, le bonheur et le malheur.

Je ne suis pas un homme différent ni meilleur ou plus intelligent que d’autres êtres humains et je peux affirmer que je suis bien heureux de comprendre ce que j’ai appris et compris de ces Textes Sacrés. Mais cela ne s’est pas fait facilement ni simplement.

Il est écrit: Heureux l’homme ou la femme qui ne suit pas l’exemple des impies, ni ne se dirige dans la voie des égarés, ni au siège des rieurs ne s’assied. Mais se plaît à lire la “Tora” תּוֹרָה de “Yévé” יְהוְה , et retourne en ses pensées Sa Doctrine jour et nuit! (Paroles magnifiques 1: 1-2 Psaumes)

J’ai appris qu’il y avait une forme multiple de lire Écritures Sacrées. Une manière qui conduit à de multiples variantes, qui ouvrent l’intelligence vers une plus grande compréhension du Message Céleste destiné aux êtres humains, afin de leur ouvrir l’esprit à la Lumière d’en Haut. Utilisé dans l’expression «sens anagogique», désigne en exégèse le sens le plus élevé et le moins évident des Écritures. Chiffré par des symboles, ce sens anagogique conduit au Céleste. En lisant dans le Séfèr Zohar un mot revenait souvent dans une allusion d’interprétation des Écritures. Ce mot est «anagogique». L’anagogie (du grec anagogikos élévation) est une notion ascétique qui désigne l’élévation de l’âme vers les Choses Célestes, et en exégèse, l’interprétation d’un texte qui cherche à passer du sens littéral vers un sens spirituel ou mystique.

La manière de lire les Écritures Sacrées n’a pas été inventée par des exégètes des Écritures Sacrées (quelqu’un de familier dans l’interprétation philosophique et doctrinale des textes sacrés), ni par les Prophètes qui les ont écrites, mais par le Révélateur qui les ont poussés à écrire de cette manière.

Aujourd’hui, il m’est moralement nécessaire de partager les différentes techniques qu’il faut utiliser pour apprendre et comprendre les Textes Sacrés. D’abord il faut avoir en nous le véritable désir de les comprendre. Écritures Sacrées, contrairement à ce que les gens pensent, n’est pas un mystère. C’est comme visiter une grande maison avec beaucoup de pièces, chaque chambre, chaque corridor, chaque salle de séjour et leur utilisation et, connaître sa structure architecturale, l’époque, les matériaux, etc.

Les Écritures Sacrées possèdent une structure, ses architectes, son époque, sa portée dans le temps, ceux et celles que cela concernent dans le temps d’hier et d’aujourd’hui et aussi ceux et celles de demain. Le véritable Auteur des Écrits Sacrés, bien au-delà des Prophètes qui Lui ont servi de canal pour écrire ces textes, avait un Plan bien détaillé, un But bien précis.

Il y a quatre manières de lire les Textes Sacrés.

Par les quatre façons de lire les Écritures, il faut entendre les quatre manières ou niveaux de lecture que proposent, bien au-delà du judaïsme et du christianisme, les Prophètes inspirés.

Pour se familiariser avec les quatre façons révélatrices de lire les Écritures, il faut développer une sensibilité intuitive qui ne s’acquiert que par la lecture fréquente de tous les jours ou presque.

J’ai lu il y a une quarantaine d’années un texte qui m’a beaucoup parlé et qui disait: Il faut connaitre la manière des Prophètes d’écrire les Écritures. J’ignorais totalement ce à quoi cet auteur faisait référence, mais je pouvais comprendre la légitimité de cet énoncé.

Puis, avec les années, le temps passa, je commençais à connaître les Écritures et je pouvais ainsi les relier ensemble. Les connections entre les Écritures augmentèrent en moi la compréhension de ces textes. Puis un jour j’ai découvert le PaRDeS.

Ces quatre manières du Pardès sont appelées:

1- Pshat, 2- Remez, 3- Derasch, 4- Sod – ou PRDS ou encore selon le mot hébreu PaRDeS – dans la tradition judaïque;

פ PSHAT, le sens premier, c’est-à-dire le sens littéral du texte qui traite du monde sensible et physique. C’est l’histoire racontée par les Prophètes selon les événements qui se sont produits. La plupart des gens se limitent à ce niveau, ne voyant rien d’autre que l’histoire.

Resh ר  REMEZ, c’est-à-dire l’allusion / l’insinuation qui consiste en un degré plus élevé de l’étude; ce niveau élève le Nefesh (l’âme). Comprendre par l’exemple.

Daleth ד DERASH, c’est-à-dire l’interprétation figurée; interprétation qui est la parabole, la légende, le proverbe, l’image et l’allégorie;

Sameck ס SOD, le sens révélateur du Secret: c’est-à-dire le Mystère, qui consiste dans le niveau caché traitant de la révélation des réalités surnaturelles, secrètes et mystérieuses.

La technique des quatre manières de lire les Écritures a été largement utilisée et appliquée dans les temps anciens et plus tard dans la période du Moyen Âge, à une époque où les Écritures Sacrées n’étaient accessibles qu’aux clercs et en latin, et où l’on avait besoin d’une interprétation codifiée pour interpréter les Textes Sacrés. Elle a été abandonnée progressivement à la Renaissance du fait de la forte diffusion des textes, permise par l’invention de l’imprimerie. On assiste malheureusement alors à une simple utilisation et à la réduction à la manière littéral seulement, tant chez les protestants que chez les catholiques. Ainsi a été perdu l’approche la plus extraordinaire de lire et comprendre les Écritures Sacrées qui élève l’âme humaine vers des sommets que seuls permets les quatre manières de les lire.

De nombreux exégètes ont utilisé les différentes manières d’étudier les Écritures Sacrées, dont voici quelques exemples.

Les quatre manières ont été exprimées en vers par Augustin de Dacie (mort en 1282):

Littera gesta docet, quid credas allegoria,

Moralis quid agas, quo tendas anagogia. 

Ce qui signifie:

La lettre instruit des faits qui se sont déroulés,

L’allégorie apprend ce que l’on a à croire,

La manière morale apprend ce que l’on a à faire,

L’anagogie apprend ce vers quoi il faut tendre et s’élever.

Origine: le judaïsme

La technique des quatre manières est pratiquée dans la tradition hébraïque pour l’étude de la Tora.

La Tradition hébraïque  du temps des chrétiens fut réprimée au Moyen Âge, car elle était considérée comme une source d’occultisme ésotérique.

La question de savoir si l’herméneutique des quatre manières de comprendre les Écritures est une transmission du judaïsme au christianisme ou une influence postérieure du christianisme sur le judaïsme est débattue. Gershom Scholem, l’un des plus grands spécialistes de la kabbale, penchait pour une influence chrétienne.

Transmission au christianisme

Selon Henri de LubacOrigène (185254), formé à l’école philosophique d’Alexandrie, il a été le premier à formuler la pratique des quatre manières de lire les Écritures dans la tradition chrétienne. Ces manières servaient à interpréter l’Écriture lors de la prière, comme l’indiquait Origène en 238 dans une lettre en grec à son disciple Grégoire le Thaumaturge, qui se préparait à partir en mission de prosélytisme. Il l’exhorte à se consacrer à l’étude des Écritures par la Lectio Divina:

Consacre-toi à la lecture des Écritures divines. Applique-toi à cela avec persévérance. En te consacrant ainsi à la lectio divina, cherche avec droiture et une confiance inébranlable en Élohim, les manières de lire les Écritures Sacrées, qui y sont renfermées en abondance.

Le passage de l’Exode (1.6-7) qui dit: « Yossef décéda (…) et les fils d’Ysraël grandirent et se multiplièrent. »

  • La manière littérale (physique, historique) est: Joseph est décédé, puis les descendants devinrent une grande multitude;
  • La manière mystique (spirituelle, allégorique) est: le décès de Yossef annonça longtemps d’avance celui de Yéshoua, décédé pour que l’Assemblée Messianique s’étende sur la Terre;
  • La manière morale (qui édifie les âmes): le décès du Crucifié se répercute dans l’âme de chaque chrétien dont elle fait proliférer la foi (Homélies sur l’Exode, I, 4).

Les quatre figures se trouvent réunies, si bien que la Yéroushalaïm (Jérusalem) pourra revêtir quatre manières différentes de la voir et la comprendre:

  • À la manière historique, elle sera la cité des Hébreux en Ysraël;
  • À la manière allégorique, l’Assemblée Messianique partout dans le monde;
  • À la manière tropologique, l’âme humaine;
  • À la manière anagogique, la Cité Céleste, Lieu où se retrouveront les Élus Célestes.

L’usage de la Technique des quatre manières a été repris par Jérôme, Augustin, Bède le Vénérable, Scot, Origène.

Les quatre manières ont été formulés au Moyen Âge dans un distique latin: Littera gesta docet, quid credas allegoria, moralis quid agas, quo tendas anagogia: la lettre enseigne les faits, l’allégorie ce que tu dois croire, la morale ce que tu dois faire, l’anagogie ce que tu dois viser.

Il s’est particulièrement développé lors de la Renaissance du XIIième, avec l’introduction de la philosophie d’Aristote en occident, la naissance de la théologie scolastique, et la naissance des universités. C’est au XIIième siècle que la doctrine des quatre manières de lire les Écritures, qui préconise une interprétation multiple du texte de la bible, atteint son apogée.

Abandon progressif à partir de la Renaissance

Avec Luther, après une période (1515-1516) où il fait un usage propre à lui de la théorie des quatre manières, on abandonne les quatre manières traditionnelles en 1519. Mélanchton déconstruit également les quatre manières. Les réformés, en général, vont abandonner la lecture selon les quatre manières, lui préférant la lecture littérale seulement. Un mouvement similaire s’amorce dans le monde catholique, mais la lecture selon les quatre manières est encore attestée au XVIIe siècle, dans le prologue du commentaire sur l’ensemble de l’Écriture du jésuite Cornélius a Lapide, et le distique d’Augustin de Dacie par Menochius. Aux XIXe et XXe siècles, le système est tombé en désuétude dans l’herméneutique (qui signifie expliquer, interpréter, traduire).

Michel-Alain Lemire

Pardès, jeune femme en lecture dans la nature
Lettre à un chrétien

Lettre à un chrétien

By nathan on 18 mars 2020

Je m’adresse ici à un chrétien. Ce chrétien, est issu de la chrétienté par laquelle est née des milliers de religions ou de sectes, qui se prétendent gardiennes de nos consciences et qui se disent comme marchant à la suite du Christ (Messie). Ce chrétien est élevé dans la tradition de sa religion, à croire ce que les autorités bien-pensantes lui donnent comme orientation et comme règles à suivre. Ce chrétien, qui comme ses parents avant lui, ses voisins et amis, ne se posent pas de questions fondamentales sur la base de ce qu’il a appris, parce que tout simplement, il croit. Ou encore, peut-être ne trouve-t-il pas de réponses satisfaisantes? Et s’il en trouvait, aurait-il le courage de mettre en péril les fondements même de ses croyances, ce qui l’obligerait à se remettre en question?

Néanmoins, la réalité d’aujourd’hui qui s’offre à lui ou à elle est l’ouverture sur d’autres peuples et d’autres philosophies. Nous voyons aussi une jeune génération qui elle, ose se poser des questions profondes, en regardant le désarroi qui sévit dans un monde en plein bouleversement. Tout cela lui offre l’occasion de se poser des questions et de poser un regard renouvelé et curieux sur le Christ (le Messie par la Croix), ce méconnu.

Les chrétiens de toutes les dominations se targuent de dire qu’ils ont accepté le Christ comme Sauveur et Rédempteur. Cependant, ils ignorent même Son Nom et la signification intrinsèque de Son Nom. De même, ils ne connaissent que très peu (certains même pas du tout) le but de Sa Mission, ni Sa Nature, ni Ses Attributs et ni le sens même du mot Salut.

Malheureusement, tôt dans les premiers siècles de la chrétienté, un vent d’apostasie déferla sur le monde, afin de détourner la Voie du Messie Rédempteur pour la substituer à une vision de l’homme ignare, de ce qu’est le Salut. Par exemple, la pensée socratique (très répandue comme enseignement chez les chrétiens) est une forme d’athéisme ou du moins elle nie toute la substance de ce que le Messie nous a apporté. En changeant certains noms bibliques hébreux, il y eu rapidement une grande confusion qui fit perdre tout son sens à des éléments simples et précis. Mais, ces Noms, une fois retrouvés et expliqués, peuvent redonner tellement de Lumière et de compréhension. Cela solidifie de façon certaine, la Foi que nous portons dans le Sauveur qui est le Messie décédé sur une Croix pour notre Salut.

Ils ont remplacé Élohim par Dieu, croyant que le nom “Élohim” était seulement une signification équivalente à Dieu, abaissant Élohim Lui-même au niveau des idoles païennes, sans en reconnaître la différence, sans en approfondir la signification éternelle de Son Être, sans connaître Sa Nature, Lui niant même une quelconque nature et de même pour Ses Attributs, ne pouvant non plus imaginer qu’Il puisse avoir de simples attributs. Son Nom, « Élohim » porte en Lui-même ce qu’Il Est, d’où Il vient. Quelle est Sa Mission? Qui suis-je par rapport à Lui? Quel est le but de la Vie, de ma vie, quel est le sens même de la mort, de la Résurrection, de l’Immortalité et de la Vie Éternelle?

Il en est de même pour Yéshoua Bèn Élohim (le Fils d’Élohim), le Messie par la Croix, voici Son Nom Réel! Ils en ont fait une médiocre traduction grecque, qui se lit en français du nom de “Jésus” ou “Jésus-Christ”, qui est encore plus loin de la Vérité du Nom: “Yéshoua Bèn Élohim” (Jésus Fils de Dieu). Ils ont ridiculisé les paroles de “Shim’ôn Èven” l’Apôtre (Simon Pierre) qui a répondu à la question de Yéshoua: «Qui dit-on que Je Suis Moi le Fils de l’Homme?» Et Shim’ôn Èven a répondu: Tu es le Messie, le Fils de l’Élohim Vivant. Et non pas la parole que l’on retrouve dans les bibles d’aujourd’hui: “Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant”.  Ignorant tout de Son décès éminant et encore moins la signification de Son décès en croix. D’ailleurs le Messie n’a jamais utilisé ni entendu le mot « Christ » ni personne de son époque.

Ce mot (Christ) n’est apparu qu’au quatrième siècle et qui Lui a fait signifier  “Sauveur par la Croix”. Ils ont voulu donner à Son Nom une résonance plus gréco-romaine qu’hébraïque. Les Grecs et les Romains étaient les principaux ennemis des Apôtres à cette époque et très antisémites. C’est eux qui cherchaient à les tuer et faire disparaître le mouvement Messianique. Comment peut-on affirmer connaître le Rédempteur, tout en ignorant même jusqu’à Son Véritable Nom? Ce Nom qui ne fût point choisi par un homme, ni par Sa mère, ni par Son père adoptif, mais par Élohim Lui-même à travers le message de l’Ange Gavriel. Son Nom sera Yéshoua, Nom qui ne peut être traduit sans en perdre toute sa signification.

«Qui dit-on que Je suis, Moi le Fils de l’Homme?» Voilà la question écrite, en d’autres mots, en hébreux (langue parlée de l’époque: «Dit-on que « Je Suis » « Celui qui Suis? » Ou encore: “Sait-on que Je suis Yévé? “Et Shim’on Èvèn de répondre, d’une manière géniale: “Tu es le Mashia, Bèn Elohim, le Vivant”; en hébreu: (Ata ha Mashia Bèn Élohim)

Lesquelles de ces citations peut-on conclure comme étant la vraie et la bonne? Toutes sont vraies, car la réponse donnée par Shim’on Èvèn, signifiait toutes ces choses (lire Pardès), sinon l’Hébreu Sacré ne serait plus l’hébreu. Connaissez-vous la signification étymologique et la grandeur du Nom “Elohim” ou du Nom “Yévé” ? Il serait à peu près temps d’apprendre leurs véritables significations, sinon vous ne pourrez jamais dire que vous connaissez le Père, ni même le Fils, Celui que vous appelez à tort «Jésus-Christ ». Le Sauveur dit: “Père Éternel, donne-Moi cette Gloire que J’avais auprès de Toi avant que le monde existe. J’ai fait connaître Ton Nom aux hommes” (Jean 17:5-6). Et les maîtres du mal et du mensonge l’on fait perdre une autre fois.

Elohim n’était pas seulement le Nom du Père, mais l’Office de Sa Prêtrise, tout comme Yévé n’était pas seulement le Nom de Yéshoua, mais aussi l’Office de Sa Prêtrise. Ici, sur la terre, Son Nom est devenu: “Yéshoua Bèn Yossef” et après la mort du Messie Son Nom fut: “Yéshoua Bèn Élohim”. Chacun de Ces Noms qui sont méconnus de la majorité, sont accessibles très facilement avec un minimum de recherche. Chacun de Ces Noms, possède une énergie propre, chacun de Ces Noms est porteur d’informations sur la signification de la Rédemption, du sens de la Vie et de la mort. Cette connaissance fait qu’enfin tout nous apparaît tellement clair et simple, malgré sa complexité apparente.

La connaissance de ces choses vous appelle-elle? Ne vous donne-t-elle pas la volonté d’essayer d’en apprendre plus sur Celui dont on voudrait accepter de suivre et dont on dit qu’Il est notre Sauveur et Rédempteur?

Pour en savoir plus, vous pouvez demander le livre: La grande apostasie. C’est gratuit.

La Grande Apostasie
Le Don Céleste

Le Don Céleste

By nathan on 18 mars 2020

Nous sommes le résultat de nous-mêmes, la somme de ce qui nous précède individuellement, seul et seulement seul, nous sommes ce que nous sommes et nous ne le devons à nul autre que nous-mêmes.

Qu’est-ce qui a été placé en nous dès nos origines, avant même notre naissance ici sur la terre et qui est conforme à la vie de tous les jours? Qu’est ce qui a fait de moi ce que je suis? C’est la Foi. La Foi est un Don et le Don est le salaire de ce que l’on mérite. Qu’est-ce qui a été semé en nous dès la première transgression? C’est le doute.

La proportion de la Foi versus le doute a commencé à positionner en nous-mêmes dès le premier souffle à notre la naissance, est que tout, en ce qui concerne la Foi, semble faux pour le transgresseur. Impossible à croire ce qui semble invisible parce que même ce qui est visible nous reste perplexe. Pouvons-nous simplement agir sans transgresser la moindre petite loi?Non, nous sommes voués à la transgression, car notre nature cherche naturellement l’autodestruction, parce qu’il y a en nous le réflexe de notre perte dans notre sang et dans le propre de la mortalité.

Qu’est-ce qui a été semé en nous dès la première transgression? C’est le doute. Le doute est l’antithèse de la Foi. Le doute comme un point d’imperfection infra-veiné en nous qui contamine tout. Le doute est en nous un mécanisme structurel destructeur tout comme la Foi est aussi un mécanisme organisé constructeur de la Vie et de l’Immortalité. Le doute ultime est l’athéisme.

Le doute est en nous comme une conséquence d’une Loi brisée et cela, à répétition. Le doute remet tout en question le bien-fondé même de la vie, de la mort et de la vie après la mort. Lorsque quelqu’un dit: “je ne sais pas”, cela devient l’équivalent de “ça n’existe pas”, tout comme savoir n’est pas toujours le fruit de la connaissance, mais aussi le fruit de l’intuition juste et vrai. Le doute est le don de la mort, tout comme la Foi est le Don de la Vie. Croire est souvent plus difficile que vivre, mais douter c’est être suicidaire pour notre cause destructrice. Le doute tue l’action, car le doute est contraire à la Foi et que la Foi est la cause motrice de toute action vitale. Le doute est de ne pas croire et la Foi est de croire parce que l’on sait intérieurement, intuitivement. Mais il peut y avoir la superstition qui est une fausse croyance, tout comme les phonèmes ou le phosphore peuvent laisser croire à une lumière.

La Foi, ce n’est pas croire en ce qui est invisible, la Foi c’est de voir des choses invisibles avec les yeux de la Foi. Lorsque le coeur est pur, tout comme la vie de quelqu’un, alors il ou elle voit juste. La Foi n’est pas de croire en des choses qui sont vraies et que l’on ne voit pas, la Foi c’est savoir et comprendre des choses que l’on ne voit pas et qui sont vraies.

Tout comme celui qui a découvert la structure de la molécule sans jamais l’avoir vu d’une manière tangible et tentant de l’expliquer à ses collèges physiciens, a fait rire de lui jusqu’au mépris. Après avoir examiné une molécule cent mille fois plus grosse, ils ont constaté que sa structure était conforme à la description de ce savant. Comment a-t-il pu découvrir la structure moléculaire avec une très grande précision, sans jamais l’avoir vu de ses yeux? Pourtant, il l’a dessinée avec exactitude et comprise dans son fonctionnement sans jamais l’avoir vu. Il en est de même partout avec ce qui est invisible, c’est vrai pour certains qui voient et faux pour d’autres parce qu’ils sont aveugles.

Le doute est une mauvaise graine semée dans le coeur de l’humanité, pour ceux et celles qui transgressent la Vérité et les Lois Célestes. Ceux et celles qui doutent sont destructeurs de la Vie et propagateurs de la mort. Pour eux, vaut mieux rester et se vautrer dans sa fange que de faire l’effort d’en sortir. Cela se constate chaque jour autour de nous (et même en nous), dans notre société malade de cette graine venimeuse. Ceci dit, il ne faut pas confondre croyance et intégrisme, l’intégrisme c’est une pensée empoisonnée qui contamine le cerveau et qui conduit à la folie meurtrière.

Le doute est la conséquence de nos actions comme la maladie qui nous gangrène et la santé qui nous anime d’une force vitale, le bonheur qui nous fait resplendir et le malheur qui nous déprime, la joie que l’on rayonne et la tristesse qui nous ralentie, le bien qui nous rend dynamique et le mal qui nous phagocyte. Tout est relié. Il ne suffit pas d’étudier le sujet de nos doutes, mais aussi s’engager dans la Voie de la Vérité de la Vie. Le Sauveur a dit: « Je Suis le Chemin, la Vérité et la Vie. »

Le Chemin se découvre dans les Écritures Sacrées, la Vérité s’y révèle et, petit à petit nous commençons à découvrir la Vie, la Vie Heureuse d’une Joie qui ne lasse jamais.

Recette de la Vie:

D’abord, faire le Bien quotidiennement, le Bien nous transforme et nous amène à devenir Bon, le Bon initie et éclaire notre intelligence à ce qui est Vrai, et le Vrai ouvre nos yeux à ce qui est évidemment Beau et magnifique, et le Beau nous dirige vers ce qui est Juste et le Juste nous conduit dans les Sanctuaires Célestes. Voilà la Voie, ou le Chemin que le Sauveur nous invite à suivre pour être Bienheureux et Bienheureuse.

Demandez le livre : Parole de Yéshoua Bèn Élohim, qui ouvre la Voie de la Vérité pour le Bonheur.

Le Livre des Arcanes

Le Livre des Arcanes

By nathan on 15 novembre 2016

Les œuvres complètes
(suite 3)
Vers la fin des années 1990

Le Livre des Arcanes
(157 pages)

La Pierre Philosophale
Elle est certaine pour qui la possède, la maîtrise, la considère et l’utilise avec Science. Aussi certaine qu’un juste calcul mathématique arrive à sa solution, aussi certaine qu’une vraie expérience en physique parvient à sa manifestation.

Tout comme le calcul et l’expérimentation sont basés sur des Lois, autant la Pierre donne des résultats lorsque les Lois sur lesquelles elle repose sont mises en Oeuvre.

Ce n’est pas un livre d’Écritures Sacrées, car ce n’est pas la Parole d’Élohim transmise par Ses Prophètes, mais c’est un livre des Sages des temps anciens, des Maîtres de l’Art Archéométrique sur la Vie, sur le Temps et sur la  Matière et les Comportements.

Extraits:
Ô très grand ami adepte de « l’Art Vivant », toi qui brûle d’un « Feu »; ici, il t’est donné d’apprendre, par l’engagement, par l’étude, par la compréhension, par la pratique juste et exacte, les propriétés de la Nature Terrestre et Céleste qui sont en toi profondément, révélés aux chercheurs, les Arts, la Pierre philosophale de l’Angle et le Rocher.

Il te sera indiqué de quoi les Anciens Maîtres confectionnèrent leur Pierre, connaissances qu’ils avaient reçues du Très Haut. Dans le but de l’utiliser pour leur santé et de jouir de toutes les commodités de cette vie terrestre. Cette Pierre, en toi, met en relief les vertus médicales, par laquelle l’adepte prolonge sa vie sans la moindre défaillance.

L’Adepte dans son triple apanage, avec la source inépuisable des biens temporels, avec la Connaissance totale de toute la Science, de la Sapience, avec la Connaissance de toutes les Clés de la Sainteté, atteignant ainsi les Hautes Sphères de la Perfection et l’ouverture des Portes des Mystères du Ciel….

Ô vous, hommes et femmes, mes amis, ainsi, par l’enseignement de ma voix, vous avez perçu la Sagesse. De quoi et comment vous devez trouver la Grande Pierre des Anciens Philosophes qui est en vous, Pierre qui guérit les …………… et imparfaits en vous, leur fournit une nouvelle régénération, conserve les humains en santé et les conduits à un grand âge dans une Sainteté Parfaite. Et lorsque vous serez las de cette vie, de votre propre volonté alors vous souhaiterez quitter cette vie.

S’il n’y avait pas les Arcanes, nous resterions dans les ténèbres en ce qui concerne la Rédemption de l’humanité. Chaque Arcane est un univers de connaissance (il y en a vingt-deux (22) pour les majeurs et cinquante-six (56) pour les mineurs), et si nous combinons (des Lettres Hébraïques) un Arcane avec un autre, nous découvrons un autre univers de connaissance en ce qui concerne les états d’âme que nous devons atteindre, afin de se mériter le Royaume Céleste. C’est la seule façon de comprendre la signification et la Mission d’un Nom Sacré Hébreu.