Écritures Sacrées des Derniers Jours
by Michel-Alain Lemire on 18 mars 2020
En ces derniers jours, avant que la fin ne vienne, ce jour grand et redoutable, une version des Écritures Sacrées devait apparaître avec toute la Lumière que cela imposait, afin de rendre les Écrits Célestes aussi clairs sur la terre, similaires à ce qu’elles sont dans les Hauts Lieux. Les Écritures Sacrées des Derniers Jours ont été transcrites, corrigées et commentées par Michel-Alain Lemire, car en ces derniers jours, les Écrits Célestes doivent être sur la terre, le reflet et similaires à ce qu’ils sont dans les Hauts Lieux, afin que l’humanité puisse connaître les États des Hauts Lieux, la Volonté de notre Père Céleste, Sa Nature, Ses Attributs, Ses Émotions, Son but et la Mission du Saint Mashia, Yéshoua Bèn Élohim et, connaître toutes les Clés du Salut des Humains.
Cette transcription (des Écritures Sacrées des Derniers Jours) a été effectuée à partir de plusieurs versions françaises (Jérusalem, Louis Second, Chouraki, Sefarim français et Massorétique) dont la version hébraïque du TaNaK. Les Noms hébreux dans le présent texte ont été transcrits exactement et fidèlement comme ils étaient inscrits dans la version originale du TaNaK hébreu ancien, afin d’offrir un produit final précieux.
Les langues utilisées à l’Époque du Moshia
– Dans la société, au temps du “Moshia” מוֹשִׁיעַ, en Palestine, les langues que les gens parlaient au quotidien étaient l’araméen (langue courante) et le grec (langue majoritairement utilisée pour le commerce); mais pour l’étude des Écritures dans les synagogues, la langue était l’hébreu sacré du TaNaK de l’antiquité et, l’usage des noms dans le peuple (prénoms et noms de famille), que les parents donnaient à leurs enfants, étaient inspirés aussi de l’hébreu scriptural. La langue araméenne généralement parlée, a été connue sous plusieurs noms au cours des siècles. Langue syriaque, appelée en divers temps, langue chaldéenne ou babylonienne, assyrienne, fut encore nommée par erreur langue hébraïque, non qu’on la confondît avec l’ancien Hébreu Sacré, mais parce qu’elle était devenue la langue commune des Yéhoudim (Juifs), depuis leur retour de captivité de Babylone (“Bav-èl” בבל) et, qu’elle l’était encore du temps de Yéshoua. La Langue Hébraïque du TaNaK a été apportée par les Prophètes, seulement par les Prophètes et jamais autrement, ni d’une culture ou d’un peuple, ni même par le peuple d’Ysraël.
La structure mathématique et scientifique de par les idiogrammes et leurs sens
– Lors des traductions (Septante, Vulgate et autres), en changeant les Noms Sacrés Hébreux en langues profanes et païennes, l’essence même du Sacré symbolique et théurgique des Noms selon le Haut Lieu, dont la compréhension est probante au Salut, fut perdu.
Les déférentes versions à travers l’histoire
Avant la bible:
Le TaNaK: (selon le concept hébreu) Historiquement, la première version des Écritures Saintes de la Première Alliance (appelée Ancien Testament par les chrétiens) est appelée le “TaNaK” תנ״ך aussi appelé “Miqra” (lecture) qui est une compilation des textes écrits par les Prophètes eux-mêmes (seule version hébraïque authentique et originale).
TaNaK תנ״ך, est l’acronyme de l’hébreu «כתובים–נביאים–תּוֹרָה», en français: «Tora–Nevi’im–Ketouvim», formé à partir de l’initiale du titre des trois parties constitutives de la Bible Hébraïque:
T ת : la Tora תּוֹרָה (la Loi ou les cinq Livres Toraniques)
N נ : les Nevi’im נביאים (les Textes Sacrés des sept (7) grands Prophètes);
K כ : les Ketouvim כתובים (les Autres Textes Sacrés des 12 petits Prophètes).
1- Le TaNaK est constitué de vingt-quatre Livres: la Tora contenant cinq Livres, les Nevi’im = sept, et les Ketouvim = douze.
Les premiers grands Prophètes: les 4 “Névi’im” נביאים
1- “Yéoshoua” יהושוע (Josué),
2-“Shoftim” שופטים (les Juges),
3- “Shémouel” שמואל (Samuel 1 et 2),
4- “Malakhim” מלכים (Rois 1 et 2).
Les autres grands Prophètes: les 3 “Névi’im” נביאים
5- “Yésha’yéhou” ישעיהו (Ysaïe),
6- “Yrméyéhou” ירמיהו (Jérémie),
7- “Yehzéqel” יחזקאל (Ézéchiel).
Les 12 petits Prophètes: “Ketouvim” כתובים
1- “Hoshe’a” הושע (Osée), avoir la hardiesse,
2- “Yoel” יואל (Joël), en hébreu: « Yévé est El » (Yoel en hébreu: Yo abréviation de Yévé et « el » qui signifie est un Élu) est l’un des douze individus bibliques appelés « petits Prophètes« ,
3- “Amos” עמוס (Amos) est le troisième des douze petits Prophètes. Il est l’auteur d’un des livres du TaNaK ou Première Alliance,
4- “Ovadia” עֹבַדְיָה (Abdias), celui qui sert ou honore יהוה,
5- “Yona” יונה (Jonas) est l’un des douze petits Prophètes du TaNaK,
6- “Mikha” מיכה (Michée) est l’auteur d’un des livres du TaNaK,
7- “Nahoum” נחום (Nahum) consolation en hébreu est le septième des douze petits Prophètes,
8- Havaqouq חבקוק, (Habacuc),
9- “Tzefaniéh” צְפַנְיְה il est l’auteur du Livre de Sophonie, qui fait partie du TaNaK,
10- “Hagaï” חזי (Aggée) est un livre du TaNaK. Il est composé de quatre Oracles du Prophète adressés à Zorobabel,
11- “Zékharyéh” זְכַרִיְה (Zacharie) est un prénom masculin, formé sur l’hébreu Zakhor, « se souvenir » et זָכָר, Zakhar, « mâle ». Il a pour variantes Zachary et Zakarié,
12- “Malakhi” מלאכי (Malachie), en hébreu signifie (mon messager) est un Prophète Hébreu, du ve siècle avant Yéshoua et rédacteur biblique du Livre de Malaki, un des livres du TaNaK, qui est également le dernier livre des Écritures Hébraïques et dans les bibles françaises modernes. Dans le canon juif, il est le douzième et dernier des petits Prophètes.
Les autres livres de l’Ancienne Alliance sont appelés “Hagiographes”. Ils sont composés de quatorze (14) livres dont: Tehilim (Les Paroles magnifiques), Mishlé (Exemples ou Proverbes), Yov (Job), Shir Hashirim (Cantiques des Cantiques), Rout, Eikha (Lamentations), Quohèlet (l’Ecclésiaste), Estér, Daniél, Ezra, Néhèmyéh, Paroles des jours 1 et 2 (Chroniques), Haftaroth.
2- Septante: (selon le concept grec). Ne portant pas le nom de bible, par extension, on appelle Septante, la version grecque ancienne puisée de la totalité des Écritures Bibliques traduite du premier Livre du TaNaK (l’Ancienne Alliance hébraïque version originale des Prophètes). Le Yéhoudaïsme (judaïsme) n’a jamais adopté la Septante, restant fidèle au Texte Hébreu à cause du caractère stricte du Sacré de la Langue et à des traductions grecques ou araméennes (Targoum) plus proches du dit texte original.
Plusieurs manuscrits de qualité de la Septante nous sont parvenus. Quelques différences existent entre ces versions. Quatre codex complets écrits en onciaux existent.
La bible: l’ère chrétienne
3- Vetus Latina: (selon le concept latin) Ne portant pas encore le nom de bible, la “vieille traduction latine” est le nom collectif des anciennes versions latines des textes bibliques effectuées à partir des textes grecs. Les plus anciennes d’entre elles remontent au deuxième siècle. Ces traductions, faites à différents endroits par des traducteurs différents, sont fort diverses, pas très précises. Ces versions ont précédé la traduction initiée par Jérôme de Stridon (dans les années 382-405), qui produisit la collection appelée Vulgate latine (traduction commune vulgarisée). Celle-ci finit par évincer les anciennes versions dans l’usage des églises chrétiennes latines. La Vetus Latina n’est conservée que très partiellement. Les versions provenant de l’Afrique portent le nom collectif Afra; celles de l’Europe Itala.
4- La Vulgate: (selon le concept latin, du latin vulgata, vulgarisée) ne portant pas le nom de bible, qui signifie “rendue accessible, ou rendue publique”, désigne la version latine, traduite par Jérôme de Stridon (dans les années 382-405), entre la fin du 4ième et le début du 5ième siècle, directement depuis le texte hébreu pour l’Ancien Testament. En ceci, elle s’oppose à la Vetus Latina (vieille bible latine), traduite du grec de la Septante. Le fait que la Vulgate puise directement aux sources Yéhoudaïques lui donne aux yeux des chrétiens latins, un “plus”.
Force est de constater, cependant, que la différence entre la Vetus Latina et la Vulgata est relativement cosmétique, essentiellement stylistique, que les traducteurs ont modifié en les traduisant en grec, puis en latin, en allemand et plus tard dans toutes les langues. Ces versions ont changé les textes, pas nécessairement au niveau de l’histoire, mais au niveau des Noms Sacrés et du Sens Doctrinal des Écritures.
Ainsi le nom biblia est apparu qui signifie “Les Livres”, et en français se dit bible, associée aux chrétiens.
5- Version Chouraqui: Une nouvelle traduction de la Bible est parue entre 1974 et 1977 qui était le fruit d’un travail méthodique poursuivi par André Chouraqui (1917-2007) depuis 40 ans. Elle bénéficie de l’expérience accumulée par les traductions traditionnelles, enrichie de la somme des connaissances actuelles en matière de linguistique, de philologie, d’histoire et d’archéologie. Elle tient compte des découvertes les plus récentes de la critique biblique et fait entendre, dans son irremplaçable originalité, l’appel profond du Livre des Livres.
Dans cette version, il forge le mot juste, plonge aux racines des significations exactes, pour retrouver au-delà des traductions gréco-latines — la voix même des Prophètes qu’il traduit. Comme par transparence, il restitue le rythme de leurs phrases, de leurs images et la structure de leurs pensées.
La véritable originalité de cette traduction réside dans le fait que c’est la première, à longueur d’histoire, à naître en milieu hébréophone. Depuis qu’il vit à Yéroushalaïm (Jérusalem), André Chouraqui parle quotidiennement la langue de la Bible, redevenue la langue moderne de l’État d’Ysraël.
Après la bible:
Nous voulons reproduire dans l’ensemble de ces livres sacrés des Prophètes et des Apôtres, des textes uniques comparables aux Écritures Originales selon le concept hébreu construits conformément à la version originale et de la méthode du TaNaK. Le présent document reste fidèle aux Paroles mêmes des auteurs inspirés, les Prophètes, le “Moshia” מוֹשִׁיעַ et les Apôtres, et non selon le concept greco-latin erroné, apportant ainsi une plus grande cohérence à la fresque apostolique sur la Vie et le Témoignage du “Moshia” מוֹשִׁיעַ.
Dans les derniers jours:
Version ultime: Depuis 2004 est apparue graduellement Le Livre de la Vie de l’Assemblée de Yéshoua Bèn Élohim, appelée “Écritures Sacrées des Derniers Jours”: cette version se conforme au concept hébreu telle la version originale du TaNaK. C’est la Parole à l’état pur au-delà des doctrines de religions quelqu’elles soient. Nous avons besoin de clarté, de simplicité, alors il faut lire et étudier cette version. C’est l’authenticité de l’histoire et l’histoire est aujourd’hui vérifiable.
Dans les versions grecques et latines, l’histoire s’avère vraie et authentique dans les grandes lignes, mais les Noms Sacrés Hébreux, eux, intraduisibles du fait de la symbolique des lettres, des mots et des noms selon l’ancien hébreu, ont été modifiés, afin de les rendre dans chaque langue (car depuis 1858, il y a aussi la langue hébraïque moderne et profane différente de l’hébreu biblique). Les Noms Sacrés Hébreux, selon la “Tradition Ancienne” קָבָּלַה, ne peuvent être traduits, c’est la base même de la structure de la Langue Hébraïque Biblique Sacrée selon les règles de la grammaire intrinsèque de la langue et des nombres, qui dans les calculs mathématiques,(gémétria et notaricon, les scribes hébreux utilisaient ces techniques de codes numériques, afin de s’assurer d’un recopiage précis et sans erreurs) disparaissent avec les traductions, car en changeant les noms, ils perdent l’Identité des Êtres Célestes comme terrestres, dans leurs fonctions et toutes leurs significations étymologiques (étude scientifique de l’origine des mots, des noms et des nombres) et, leurs Pouvoirs d’action sur nos âmes. Dans les Écritures Sacrées des Derniers Jours, les Noms Sacrés sont restitués intégralement et présentés en caractères français appelés aussi “l’hébreu occidentalisé”. Les Noms Sacrés sont jumelés aux Noms en caractères hébreux conforment aux Livres des Prophètes de la première apparition des Livres Sacrés (“TaNaK” תנייך) en Hébreu Ancien et Sacré, afin de les prononcer le plus exactement possible avec la phonétique hébraïque pour que vous puissiez constater comment ils se lisaient et s’écrivaient aux temps des anciens et du temps du “Moshia” מוֹשִׁיעַ (du Sauveur). Vous aussi vous pouvez maintenant les prononcer presque de la même manière et les lire tout comme le “Moshia” מוֹשִׁיעַ les lisait et les prononçait en ce temps-là. Lorsque le “Moshia” מוֹשִׁיעַ parlait en Son Nom ou au Nom de Son Père Céleste, Il ne prononçait pas des noms traduits par des profanes grecs ou romains, mais Il prononçait les Noms d’Origine Céleste. Alors, possiblement pour la première fois, vous connaîtrez ces Noms (prénoms et noms de famille, des villes et des lieux de partout en Ysraël), d’où ils viennent et pourquoi ils portaient ces Noms. En hébreu biblique, il n’y que des consonnes qui s’écrivent, les voyelles se prononcent, mais ne s’écrivent pas. Alors il y un système appelé “nikkoud” pour illustrer les voyelles, les Écritures Sacrées en sont constituées, afin d’aider les gens intéressés à lire avec la bonne prononciation. Exemple: Il vous est présenté le Nom du Sauveur écrit sans voyelle: יהשוע בן אלוהים, et le même Nom écrit avec les « nikkoud », afin de nous aider à bien prononcer les voyelles: יְהשׁוּעַ בּוֶ אֱלוֹהִים.
En quelles langues ont été écrites tous les livres de la Nouvelle Alliance (appelée Nouveau Testament dans les bibles chrétiennes)? La preuve a été constatée que tous les livres de la Nouvelle Alliance ont été écrits en hébreu ou certains en araméen et non en grec, comme il a été longuement pensé par les chrétiens.
Avant-propos:
– Qu’il soit bien connu de tous que je ne suis qu’un serviteur sans plus, un homme sans prétention qui a souffert de l’ignorance humaine toute ma vie. J’ai d’abord constaté avec tristesse ma propre ignorance et j’ai toujours refusé de ne pas connaître la Vérité et le but réel de la vie, d’où je venais et, s’il y avait une vie avant cette vie? Je voulais savoir ce que j’étais venu faire ici sur cette terre. Tôt dans ma jeunesse, mon ignorance a été la cause d’une grande frustration. Je ne pouvais pas comprendre les gens qui ne se questionnaient pas sur le propre de leur existence et les raisons du décès. Dans leur jeunesse, les gens se pensent immortels sauf à un âge avancé, par la défaillance du corps physique, ils constatent que le temps de décéder approche et qu’ils ne peuvent rien y changer.
– Au début, j’ai commencé ce travail de transcription des Écritures pour moi, pour ma propre connaissance. Sous forte d’inspiration, j’ai voulu réunir les quatre livres appelés “évangiles” sous un même texte et en faire une refonte, afin de faciliter la lecture en y ajoutant d’autres textes pertinents tant de l’Ancienne Alliance (Ancien Testament) que de la Nouvelle Alliance (Nouveau Testament) ou selon le contexte. Par les paroles des Prophètes, j’ai rapidement compris qu’il y avait eu une vie avant cette vie et qu’il y aura une vie après celle-ci, que le décès est temporaire, afin de se préparer à une nouvelle Vie par le processus de la Résurrection, de l’Immortalité et de la Vie Éternelle. J’ai voulu éprouver la véracité des Paroles des Prophètes, de l’exactitude de la Science Céleste et des impacts dans la vie humaine.
– Il est écrit dans les Écritures que notre Père Céleste utilise de très petits moyens pour réaliser de grandes choses. Je sais que ce travail est une grande chose et que moi, j’ai été un très petit moyen entre les Mains de mon Père Céleste. Il a d’abord fallu que j’améliore mon français, afin d’écrire d’une manière acceptable. Puis, dans la transcription des textes, j’ai compris que je devais comprendre l’hébreu, du moins de pouvoir lire au moins sommairement.
– Puis à travers la transcription, par la Lumière des Écritures Sacrées, j’ai aussi appris que ce travail était destiné à la famille chrétienne peu importe l’allégeance et la foi, peu importe la langue, la culture ou la race, hommes et femmes de toutes les nations de la terre. Ainsi s’en est suivi la transcription de tous les autres livres de la bible appelée en ces dernier jours, Écritures Sacrées des Derniers Jours.
– Puis encore, les Écritures enseignent que les enfants “d’Ysraël” ישראל particulièrement “Yéhouda” יהודה , accepteraient le Sauveur dans les derniers jours et de par les années, ce travail serait peut-être un instrument de conversion pour le Peuple “d’Ysraël” ישראל. Humblement,
Michel-Alain Lemire
Les Livres des Écritures des Derniers jours